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kayadesbois On ne badine pas avec l’amour 09-09-05 à 16:41 |
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"Tous les hommes sont menteurs, inconstants, faux, bavards, hypocrites, orgueilleux ou lâches, méprisables et sensuels ;
"Toutes les femmes sont perfides, artificieuses, vaniteuses, curieuses et dépravées,
"Le monde n’est qu’un égout sans fond où les phoques les plus informes rampent et se tordent sur des montagnes de fange ;
"Mais il y a au monde une chose sainte et sublime, c’est l’union de deux de ces êtres si imparfaits et si affreux.
"On est souvent trompé en amour, souvent blessé et souvent malheureux ;
"mais on aime, et quand on est sur le bord de sa tombe, on se retourne pour regarder en arrière, et on se dit :
""J’ai souffert souvent, je me suis trompé quelquefois, mais j’ai aimé. C'est moi qui ai vécu, et non pas un être factice créé par mon orgueil et mon ennui."
Alfred de Musset (1810-1857) -
( merci armelle) |
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rebelle33 Re:On ne badine pas avec l’amour 09-09-05 à 18:24 |
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je n ai qu un mot : waouhhhhhhhh ...............................  |
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Celia pourquoi a-t-il écrit des choses aussi noires ? 09-09-05 à 19:40 |
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La vie de Alfred de Musset fut bien dramatique et tourmentée, il connut les déceptions d’un grave échec sentimental… ce qui explique la noirceur des vers cités ci-haut.
En 1833, il connu et aima George Sand. Ce fut une atroce torture, car très vite sa compagne s’éprit d’un autre homme. Des crises affreuses bouleversèrent leur vie jusqu’à la rupture définitive (1835). Musset sortit profondément et définitivement transformé de cet rude échec :
J’ai vu le temps où ma jeunesse
Sur mes lèvres était sans cesse
Prête à chanter comme un oiseau ;
Mais j’ai souffert un dur martyre,
Et le moins que j’en pourrais dire,
Si je l’essayais sur la lyre,
La briserait comme un roseau.
Après cette rupture, le poète traînait une existence désenchantée. Il cherchait des stimulants dans la débauche et dans le vin. Il réunissait à peine ainsi à « étourdir sa misère ». En 1839, il voulut se suicider, après un accès de désespoir:
J’ai perdu ma force et ma vie,
Et mes amis et ma gaieté ;
J’ai perdu jusqu’à la fierté
Qui faisait croire à mon génie.
À partir de 1840, il est en proie à la souffrance physique : crises de nerfs, fièvres, pleurésie et maladie de cœur qui l’emporta. Il mourut en laissant échapper ce cri de lassitude infinie: « Dormir !… Enfin, je vais dormir ».
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hungaro Re:Re:On ne badine pas avec l’amour 09-09-05 à 19:57 |
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on ne badine pas, non ..... enfin on essaie
l'amour est le moteur de la vie, souffreur de sa propre violence-passion.
quel intéret de reprocher ou pas le masculin ou le féminin ?
sur l'amour, il y'aurait à tergiverser, à prendre du recul, ou à fusionner ....
finalement c'est quoi l'Amour, c'est quoi aimer ?
si ce n'est se rendre libre et rendre libre l'Autre |
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sortilege Re:Re:Re:On ne badine pas avec l’amour 10-09-05 à 09:04 |
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L'amour c'est tirer pousser et rendre libre,
faire grandir et rendre libre.
L'amour c'est réparer et rendre libre
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princesse Re:pourquoi a-t-il écrit des choses aussi noires ? 10-09-05 à 09:32 |
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 AMOUR AMOUR quand tu nous tiens    |
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f1passion Re:Re:pourquoi a-t-il écrit des choses aussi noires ? 10-09-05 à 19:53 |
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L'AMOUR n'est pas un jouet ! Les sillons creusés par l'amour laissent souvant des traces indelébilles !!   |
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mino Re:Re:Re:pourquoi a-t-il écrit des choses aussi noires ? 11-09-05 à 10:34 |
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ooooooohhhhhhhhh ptit frère..... je suis coîte ! |
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Siffreine Re:Re:Re:Re:pourquoi a-t-il écrit des choses auss 11-09-05 à 12:21 |
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L'éviter ? J'avoue me vautrer, me jeter dedans à corps perdu, quitte à y perdre mon âme, je vis, j'aime, je suis aimée, Même si ce temps ne doit durer, j'en aurai profité.   |
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